CES in Las Vegas is one of the biggest tech shows in the world, and XR has had a regular spot there since 2013, when the Oculus Rift first turned heads. This year, Conseil 3D walked the floor at the 2025 edition, and here’s what caught our attention.
While the Rift made quite a splash back in the day fresh off its Kickstarter success Meta has, interestingly enough, never had its own booth at CES. That said, Meta Quests were everywhere this year, powering VR experiences across countless other booths. That alone says a lot.
Meta Quest 3's hand tracking opens up new professional use cases.
HTC, which for years hosted its own side event at the Wynn (a hotel just off the show floor), was also absent this time around. No major surprise there the Taiwanese manufacturer recently sold part of its engineering team to Google to help boost Android XR development.
Still, XR was out in full force most notably with Siemens, which officially announced a January 23 release date for its new headset, developed in collaboration with Sony. The Sony SRH-S1, priced at $4,750, is strictly aimed at enterprise use. It’s a wireless device purpose-built for 3D design, featuring a resolution of 3552 × 3840 pixels per eye, Micro-OLED displays running at 90 frames per second, 1000 nits brightness, and 96% DCI-P3 color coverage.
It also comes equipped with front-facing cameras for mixed reality experiences, and for added comfort, the headset flips up easily allowing users to quickly switch between flat-screen work and full immersion.
It also ships with two unique controllers: a pointer-style device and a ring for menu navigation. We had the chance to test the setup and while the system is promising, it does take some getting used to before navigation feels second nature. Unsurprisingly, it’s natively compatible with Siemens NX.
In parallel, Sony also teased the XYN headset a “prosumer” model aimed squarely at creatives. From what we’ve seen so far, it appears to share much of the same DNA as the SRH-S1.
Au Central Hall du Las Vegas Convention Center, c’est le japonais Shiftall qui attirait les regards avec son MeganeX Superlight (prononcé « mégané », le mot veut dire lunettes en japonais). Jamais entendu parler de Shiftall ? C’est normal, c’est une filiale de Panasonic née après plusieurs années de développement interne.
Le MeganeX Superlight a l’avantage d’être ultra-compact tout en incorporant les mêmes écrans Micro-OLED de 3552 × 3840 pixels par œil que le Sony SRH-S1 mentionné ci-dessus. Comble du luxe, l’ajustement de l’IPD se fait automatiquement lorsqu’on indique ses mesures. Contre-partie de ce format superléger : impossible de l’utiliser avec des lunettes, et il requiert une connexion par câble à un PC doté d’une carte graphique Nvidia ainsi que des balises de tracking SteamVR. Il sera vendu courant mars pour environ 1900 dollars.
Du côté des contrôleurs, Shiftall propose des manettes Steam appelées GripVR qui ressemblent à celles du Valve Index, mais disposent de boutons équivalents à ceux des contrôleurs Quest (devenus le standard du marché). Elles seront vendues séparément pour 300 dollars.
L’entreprise a également annoncé AddCon, un accessoire pour les contrôleurs Touch gauchers des Quest 3/3S/Pro. Il ajoute une molette et des boutons pour étendre les fonctionnalités du contrôleur, l’objectif étant de faciliter la gestion des éléments d'interface utilisateur 2D. Il se connecte au Quest via Bluetooth LE ou un dongle GX6/GX2 et se charge via son port USB Type-C. AddCon sera vendu 69 dollars et devrait sortir cet été.
Grand habitué du salon, le chinois Pimax était là pour faire la promotion de son prochain casque SteamVR, le « Crystal Super »,dont la résolution est censée être de 3840 x 3840 pixels par œil avec un champ de vision horizontal de 120° et une luminosité de 280 nits. L’appareil n’était pas finalisé et comme toujours avec Pimax il convient d’être prudent car les résultats sont rarement à la hauteur des promesses. Le fabricant bénéficie malgré tout d’une clientèle fidèle, notamment pour la simulation de conduite.
Des démonstrations avaient lieu avec le Crystal Light, son casque actuel, notamment sur le stand de Next Level Racing. On trouvait aussi sur le salon d’autres démonstrations utilisant la VR, comme un jeu d’arcade ou une vidéo immersive de K-Pop avec des Meta Quest 3 proposée par le conglomérat coréen Lotte.
Le produit de Meta qui a le plus excité les foules en 2024 n’était pas un casque mais une paire de lunettes : les Ray-Ban Meta. Sans écran mais dotées d’une caméra, de micros et d’écouteurs discrets dans les branches, ces « smart glasses » permettent de passer des appels, prendre des photos, écouter de la musique ou de poser des questions à un assistant à base d’IA générative. Un aperçu du futur qui a séduit plus d’un million d’acheteurs l’année dernière.
Et qui dit succès, dit imitations au CES. Les copies étaient partout et s’appelaient Loomos (du fabricant Sharge), Rokid Glasses, Mustard Glasses ou LAWK. A l’exception de Mustard, start-up indienne, toutes proviennent d’entreprises chinoises. Ont-elles une chance de se vraiment concurrencer les Ray-Ban Meta ? Probablement pas. Mais c’est le jeu du CES, où les annonces de produits s’enchaînent sans parfois qu’ils ne voient le jour. Cela révèle dans tous les cas un engouement pour cette catégorie de produit.
De son côté, Meta semble préparer ses prochaines lunettes, qui seront dotées d’un petit écran. Peut-être verra-t-on à nouveau d’ici quelques années des appareils capables de faire de la réalité augmentée en see-through, comme le faisait HoloLens 2.
A noter qu’il y avait quand même quelques paires de lunettes faisant de la réalité augmentée de cette façon. Les plus populaires étaient sans conteste celles de Xreal, start-up chinoise qui fait office de vétéran sur le salon avec une première apparition au CES 2019. Elle présentait ses nouvelles lunettes : Xreal One et Xreal One Pro.
Il s’agit comme ses précédents produits de lunettes faisant office d’écran virtuel : elles ne disposent que d’un tracking 3DoF et leur champ de vision de 50° (57° pour le One Pro) permet d’afficher un écran statique équivalent à une TV de 70 pouces (85 pouces pour le One Pro) placée à 2 mètres de distance. Utile pour se divertir ou travailler dans le train ou l’avion. Elles fonctionnent en se connectant à un PC sous Windows ou un smartphone Apple ou Android.
Nous avons précommandé les Xreal One Pro et nous publierons nos impressions dans les mois qui viennent !
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